04 mai 2008

Encore des coupures... Toujours des coupures.

Petite pensée stupide par un beau dimanche matin pluvieux.

Des coupures, y en a depuis toujours.

Vous savez l’opéra de Verdi, Nabucco? Le rôle éponyme est en réalité Nabuchodonosor II, roi de Babylone. Verdi n’avait pas vraiment le choix de couper un peu quelque part. Dans un récitatif, ça passerait encore, mais dans les grands airs, ça prendrait au moins huit mesures pour chanter le nom...

Na-a-a-a-a-bu-u-u-u-u-u-cho-o-o-o-o-do-no-o-o-o-o-o-so-o-o-o-o-o-o-o-o-o-or!

Le hit dans cet opéra, c’est le très beau choeur des esclaves hébreux : « Va, pensiero». C’est un extrait magnifique qui a même déjà été pressenti pour devenir l’hymne national italien. Pfff... La légende raconte qu’aux funérailles du compositeur, la foule l’entama, rendant ainsi un dernier hommage à ce cher Guiseppe.

Traitez-moi d’antisémite, je le trouve vraiment plate ce choeur. C’est beau au début, puis ça devient gaga...

Voici donc l’ouverture. C’est pompier à souhait, mais pas gaga pour cinq cennes.











...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Parle m'en pas...

Ils ont même coupé dans les « s ».

C'est pas des farce.

Taquine Zed :)

Prof Malgré Tout a dit…

Bordel! Merci.

Le professeur masqué a dit…

C'est dr�le: je pensais que tu nous parlerais de coupure de postes. Chez nous, j'ai rencontr� un de mes anciens �l�ves devenu prof de musique. Son poste va passer � la moulinette justement.

Anonyme a dit…

Je peux maintenant remettre le mien : s

:)

Pour l'ami Masqué, je crois que c'est un surplus de romans policiers. Message codé. ¦D