Même s'ils disent des conneries, même s'ils menacent (mais ça, c'est plutôt par courriel), même s'ils sont trop nombreux et que l'on n'en peut plus...
Je n'ai pas envie de modérer, d'éditer ou de supprimer les commentaires. Ce blogue est imparfait et je lui souhaite un futur simple. (On croirait entendre Zed!)
Je reconnais mes torts et si quelque chose blesse quelqu'un personnellement, qu'on m'écrive et je vais retirer l'épine. Certes, la blessure restera ouverte... comme la mienne.
Si on me traite de lâche, souvenez-vous de la règle numéro un : défense de nourrir les trolls.
Si on me traite de chien fini, souvenez-vous de la règle numéro deux : qu'on paye à boire à Chroniques Blondes bordel!
En attendant, je lisais sur le blogue de Zviane qu'elle a joué la fantaisie en fa mineur de Schubert dernièrement. Vous connaissez?
C'est un truc pour piano à quatre mains. Ce cher Franz était sans doute amoureux de son élève, la comtesse Esterhazy. Comme il était trop fauché pour des roses et du chocolat, il lui a dédié l'oeuvre, en sachant très bien qu'il allait la jouer avec elle... C'est une technique de drague qui a fait ses preuves avec les comtesses du 19e siècle.
Franz Schubert : Fantaisie en fa mineur
Paul Badura-Skoda et Jörg Demus, piano (pas de "s")
Une sublime interprétation.
...
15 commentaires:
J'ai pas tout compris là, mais un blog c'est un blog, si on n'aime pas, on ne lit pas. Vous semblez avoir une vie formidable, des raisons à la tonne de carburer au bonheur, vous faites des lecteurs heureux, alors de grâce, prenez ici ce qui vous agréer et "fluschez" le reste, le virtuel ne mérite pas qu'on utilise une seule seconde de notre vie pour être malheureux ou même simplement irrité. Et vogue le navire.
Bibco : On ne peut pas carburer au bonheur quand on piétine celui des autres. Si madame "vous-savez-qui" me demande de retirer les billets que j'ai écrits à propos de son blogue et la censure qui y règne, je vais tout retirer, incluant les commentaires et même celui-ci. Il s'agit de demander. Je n'ai reçu aucune demande allant en ce sens et je me sens un peu comme le gros méchant présentement.
Il est évident que je remets en question ce qu'elle raconte sur son blogue, sa formation et son expérience d'enseignement en milieu scolaire pendant les heures de classe. Je m'intéresse à ma profession et je lis un peu sur le sujet. Il m'arrive d'aller voir ce qu'elle raconte de bon et lorsque je laisse un commentaire, il n'est jamais publié. J'avoue que je n'en ai pas laissé des tonnes, car je ne suis pas un de ses plus fidèles lecteurs.
En parlant de lecteurs, je l'aime bien la petite gang de ce blogue. Tout le monde peut venir y mettre son grain de sel et plusieurs lecteurs communiquent régulièrement avec moi par courriel et c'est très sympathique. Je n’en ai rien à cirer d’avoir 30 commentaires pour un billet. J’écris à ma façon et je ne recherche pas la gloire (du moins sur ce blogue...). Je n’ai nul besoin de ces nouveaux lecteurs qui m’ont laissé des commentaires anonymes ainsi que quelques courriels tout aussi anonymes, quoique plus méprisants. Attention. Je suis certain que l’auteur des courriels n’est pas la principale intéressée. Disons qu’ils ne partagent pas le même style littéraire... Ça va faire les accusations d’accusation.
En résumé, je ne vais pas laisser deux billets où je bitche un peu sur quelqu'un qui, selon moi, désinforme ses lecteurs sur la réalité scolaire détruire cette petite oasis de paix où Zed nous sert ses éternels jeux de mots pendant qu'on se tape des airs d'opéra.
Sans compter qu'avec un peu de chance, Chroniques Blondes va me traiter de chien fini d’ici peu...
Ah... C'était quelque chose comme ça... Et bien tu es seul juge du contenu de ton blog et de ce qui s'y dit ou pas. Mais je voudrias juste préciser que pour piétiner quelqu'un il faut d'abord qu'il soit à terre, et là, j'ai plutôt l'impression que la personne se place plutôt dans les hauteurs, au-dessus de bien des gens en tout cas.
Moi tout ce que je sais, c'est que j'aime bien te lire et j'aime aussi lire les commentaires qu'on te laisse. La complaisance et le gnagna ne m'ont jamais intéressés pas plus que les antagonismes déchirants et les chicanes de poulailler. Je n'en retrouve pas ici, alors en attendant la sommation du delete, soyons fidèles au poste, the show must go on!
Cher PMT, je vous réponds à ce billet à la fin de votre billet intitulé Impossble de résister...
Ah! J'ai manqué de foi, Oh! Grand maître! Je vous ai lu, j'ai cru à l'erreur, et j'ai même cherché à prouver la faute. Oh! PMT! j'implore votre pardon! J'étais si certaine qu'Esterházy s'épellait avec "sz" - puisque c'est ce que demandent les noms Hongrois pour se prononcer "s" - mais bien sûr, l'erreur est la mienne puisque c'est ma prononciation qui est défaillante (Echterházy)
Oh! Grand Maître! J'ai douté, pardonnez-moi! ;^p
(par contre, ça prends vraiment un accent aigu sur le a...)
Hihihihihi!
Je crois impératif de te remercier pour ce présent... « Ces », en fait, car j'adore Schubert.
:D
Petitspetons :
Argh!
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Bordel...
Ω‹›†◊≤≥ºX÷≠÷Xº≠`’´’´´´´´
Eurêka!
Putain d'accent aigu... Fallait le trouver quand même. Je n'avais jamais remarqué avant. C'est qu'ils sont partout dans l'histoire de la musique ces Esterházy. Par contre, je ne m'y connais vraiment pas en prononciation hongroise et je n'ai jamais compris la battue de Miklós Takács. Mais quel homme fascinant!
Zed : Je suis un peu fatigué... Tu m'expliques le "Ces"?
Ah là là!
Ça a chauffé ici dans les derniers jours! Vite les vacances scolaires... et la bière.
Moi, j'aime bien votre site, PMT (au risque de paraître têteuse). Je viens fouiner régulièrement. Je trouve vos propos très divertissants! et vous m'avez fait découvrir Zviane (cool!)
En passant: belle interprétation indeed, la Fantaisie.
Musicologue recyclée: cool!! ^_^
Prof: euuuh!!... je veux pas donner l'impression que j'ai joué cette affaire-là au complet!!.. on n'a fait que le début (sinon, on aurait tué l'assistance...). Mais il n'en tient qu'à un partenaire willing pour m'accompagner, je le jouais (bien piètrement) au complet avant, alors... il manque juste une occasion pour la remonter.
Tu joues pas de piano, prof?...
Reconnaître vos tords??
Bon, bon, petit défaut professionnel, sûr, sûr. J'adore lire vos textes, cher PMT, tellement pleins d'humanité et de musique, qu'hélas je ne peux entendre mais j'en ai quelques souvenirs. Je crois déceler une certaine lassitude chez vous, j'espère que vous ne ferez pas comme plusieurs, je suis déjà en deuil d'une gang de blogueurs, ces petits êtres dont on s'attache farouchement. Et bravo pour avoir arrêté, je crois qu'enfin, j'en aurai le courage. Mais aussi pourquoi il n'y a pas les FA comme les AA?
Cher PMT,
Moi, j'ai cru que je t'avais un tout petit peu contagié et je l'aimais bien ce « tords » un brin tordu ou retors. Car, tu n'es pas moins cabotin que moi et tu t'amuses bien aussi avec les mots...
« Ces » : t'es trop gentil de me citer, comme ça, avec mes bouffonneries, c'est le premier; le deuxième, c'est Schubert, que je vais écouter maintenant que j'ai quelques minutes, de retour du travail ; le troisième, que je viens juste de lire, c'est que tu parles de mes jeux de mots dans un commentaire où tu n'as pas trop si tant l'air de t'en plaindre. (J'avoue ne pas trop comprendre. Mouahhhh?)
Bien tout ça, ce sont des présents pour moi. Et tu remarqueras que je te les ai expliqués sans conditionnel. J'aime ce qui ne coute rien.
J'aurais pu aussi te les énumérer( l'indicatif, le subjonctif, l'infinitif, etc.) Je me suis abstenue. Quelle chance tu as, tout de même, qu'avec le temps, je me sois améliorée.
:)))
Correctrice : C'était une tentative de jeu de mots qui a avorté, mais en laissant une trace sous forme d'erreur. Une erreur tout de même. Le gag était trop tordu... Bordel, tu commences à me connaître Zed! Je vais corriger ça à l'instant même. Merci.
AA, je connais, mais les FA... Les F.... Anonymes. Les quoi???
Zviane : Je ne suis pas pianiste, mais j'avais acheté la partition pour la jouer avec quelqu'un à l'université. J'avais encore un peu de piano instrument second dans les doigts à cette époque (Jacqueline s'était acharnée sur mon cas à Saint-Laurent... Fantaisie impromptue de Chopin = Ouch!). Après quelques minutes de pratique, je me suis rendu compte que je n'avais pas assez de lecture à vue pour que ça en vaille la peine. Maintenant, je ne fais qu'un peu de pop au piano et j’accompagne mes affreux. J’ai pas de piano... sni-fe, sni-fe. Mais j’ai un FP5 de Roland!!!
T'as la partition, tu sais lire la musique et t'as une piano électronique. C'est tout ce que t'as besoin! On se voit quand pour la jouer, cette fantaisie???? (moi je joue en haut, tu peux jouer en bas?)
Zviane : Pfff... Je ne serai pas foutu de faire les bouts avec les trilles.
Mais bon... faudrait que je retrouve la partition et voir comment je m'en sors maintenant. Faut pas se faire d'illusion.
Ouéééé!!!! Donne-moi en des nouvelles!!!!!
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