Y'a rien comme le premier livre du clavier bien tempéré (3.99$ chez Costco!) pour me rappeler que je ne suis pas pianiste. Y'a rien comme ma guitare électrique pour me rappeler que je ne suis plus un ado. Y'a rien comme Villa-Lobos pour me rappeler que je ne pratique plus. Y'a rien comme un chaudron entre les mains de Fiston pour laisser tomber le djembé. Y'a rien comme mes chats pour me convaincre de faire une sieste. Y'a rien comme trois jours sans bosser l'automne! Emmener Fiston au parc. J'suis daltonien... rien à cirer. Putain que c'est beau!
Mais je ferme ma grande gueule. Ils ont peur. Les pauvres des riches et vice-versa. Pendant ce temps-là, les enfants sont enfermés... J'ai hâte de voir ça demain matin... après trois jours devant la télé... ça va être beau.
Y'a rien comme un prof pour chialer à une heure pareille...
Y'a rien comme un parc vide de parent et d'enfant par une journée pareille pour exprimer ce que c'est un quartier défavorisé. J'aurais envie de crier : " Mais vous êtes où bande de cons? Les parcs sont pleins dans les quartiers biens!"
Mais je ferme ma grande gueule. Ils ont peur. Les pauvres des riches et vice-versa. Pendant ce temps-là, les enfants sont enfermés... J'ai hâte de voir ça demain matin... après trois jours devant la télé... ça va être beau.
Y'a rien comme un prof pour chialer à une heure pareille...
2 commentaires:
Génial!!! Juste ce que j'avais envie de lire, léger mais songé.
Merci
J'avoue qu'ici, PMT, vous vous êtes surpassé. Court (contrairement à mes habitudes !), imagé et efficace comme une fable.
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